« Lasse du jardin où je me souviens d’elle,
J’écoute mon cœur oppressé d’un parfum.
Pourquoi m’obséder de ton vol importun,
Divine hirondelle ?
« Tu rôdes, ainsi qu’un désir obstiné,
Réveillant en moi l’éternelle amoureuse,
Douloureuse amante, épouse douloureuse,
...