• Septembre au ciel léger taché de cerfs-volants
    Est favorable à la flânerie à pas lents,
    Par la rue, en sortant de chez la femme aimée,
    Après un tendre adieu dont l'âme est parfumée.
    Pour moi, je crois toujours l'aimer mieux et bien plus
    Dans ce mois-ci, car c'est l'époque où je lui plus.
    L'après-midi, je vais souvent la voir en fraude ;
    Et, quand j'ai dû...