• Comme un poison subtil redoutons la pensée.
    Moi, si j’avais vingt fils, ils auraient vingt chevaux
    Qui, sous les grands soleils ou la bise glacée,

    Les emportant joyeux, et par monts et par vaux,
    Devanceraient la flèche et l’oiseau dans leurs courses :
    Ils n’entendraient jamais parler de leurs cerveaux ;

    La matière partout leur créerait des ressources,...