• Ils rendent à Dagon leurs devoirs négligés.
    Le dieu, peu rancunier, sourit à leur hommage.
    Dans son temple superbe, et devant son image,
    Ils se gorgent de vins aux festins obligés.

    Ils ne gémissent plus comme des affligés,
    Mais ils chantent l'amour. C'est un joyeux chômage.
    La nation perverse ainsi se dédommage
    De la honte subie et des maux infligés...