• Malade et seul, n’ayant pour m’aider à souffrir
    Ni les soins maternels ni l’espoir de guérir,
    Blessé d’un chaste amour, et contraint de me taire
    Comme si je brûlais d’une ardeur adultère,
    Incapable de vivre, hélas ! de plus en plus,
    J’attends venir les jours et les maux dévolus.
    Je ne chercherai pas un secours à mes peines
    Dans le fragile appui des...