Je sais que Partisan d’une austère sagesse,
Que nourri de l’esprit d’Épicure et Lucrèce,
Tu penses que le Sage avec tranquillité
Laisse couler en paix cette suite d’années
Dont nous font en naissant présent les Destinées ;
Qu il ne doit, occupé de son oisiveté,
S’embarrasser des soins de la Chose publique,
Mais goûter à longs traits la molle Volupté,...
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Je sais que, partisan d’une austère sagesse,
Que, nourri de l’esprit d’Épicure et Lucrèce,
Tu penses que le sage avec tranquillité
Laisse couler en paix cette suite d’années
Dont nous font en naissant présent les destinées ;
Qu il ne doit, occupé de son oisiveté,
S’embarrasser des soins de la chose publique,
Mais goûter à longs traits la molle volupté...