Marie, ô douce enfant aux grands yeux de gazelle,
Qui naquis sur un sol où croissent les palmiers ;
Toi dont l’âme charmante et les songes premiers
Se sont ouverts, bercés à la voix fraternelle
Des bengalis et des ramiers !
O douce enfant ! ta vie aux flots riants et calmes,
Pareille aux bassins bleus de mon climat natal,
N’a jamais...