•       Filles du Dieu de l’univers,
    Muses, que je me plais dans vos douces retraites !
    Que ces rivages frais, que ces bois toujours verts
    Sont propres à charmer les âmes inquiètes !
          Quel cœur n’oublîrait ses tourments
    Au murmure flatteur de cette onde tranquille ?
    Qui pourrait résister aux doux ravissements
          Qu’excite votre voix fertile ?...