Rubens
Ton art énorme est tel qu’un débordant jardin
— Feuillages d’or, buissons en sang, taillis de flamme —
D’où surgissent, d’entre les fleurs rouges, tes femmes
Tendant leur corps massif vers les désirs soudains
Et s’exaltant et se...
Ton art énorme est tel qu’un débordant jardin
— Feuillages d’or, buissons en sang, taillis de flamme —
D’où surgissent, d’entre les fleurs rouges, tes femmes
Tendant leur corps massif vers les désirs soudains
Et s’exaltant et se...
Nymphe blanche et robuste,
Dont les bras et le buste
Défieraient les Titans
Et les autans ;
Délice de la lyre,
Qui dus naître et sourire,
Colosse harmonieux,
Au temps des Dieux,
Ne crains plus, forme altière,
De mourir tout entière,
Puisque tu m'enivras.
Non, tu vivras !
Tu vivras par ces rimes,
Comme la neige aux...
* * *
I Rubens am a Statesman & a Saint
Deceptions? O no—so I'll learn to Paint[4]
* * *
Sir Jo[s]hua praised Rubens with a Smile
By Calling his the ornamental Style
And yet his praise of Flaxman was the smartest
When he calld him the Ornamental Artist
But sure such ornaments we well may spare 5
As Crooked limbs & louzy heads of hair
* * *
When I see a Rubens Rembrant Correggio
I think of the Crippled Harry & Slobbering Joe
And then I question thus are artists rules
To be drawn from the works of two manifest fools
5 Then God...