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    Une mère, vois-tu, c’est là l’unique femme
    Qu’il faille aimer toujours,
    A qui le ciel ait mis assez d’amour dans l’âme
    Pour chacun de nos jours.
    (A. de LATOUR)

    Quand elle reposa, sous un tertre sans nom,
    Celle à qui nous liait le filial chaînon,
    Et que, sur ce gazon où l’arbuste s’incline,
    Pleuraient ses fils enfans et sa...