Si tu pleures jamais, que ce soit en silence ;
Si l’on te voit pleurer, essuie au moins tes pleurs !
Car tu ne peux trouver au fond de ta souffrance
Le calme fier qui naît des injustes douleurs.
Non ! tu ne le peux pas. Si ta vie est brisée,
Qui me brisa le cœur où tu vivais ? Dis-moi,
Dis-moi qui l’a voulu, si je t’ai délaissée ?
Tes pleurs...