• A Philippe Monnier.

    Je te dédie, ô Mort, le suprême désir
    De mon coeur dépouillé de la robe illusoire ;
    Il mettra tout le feu qu'il avait au plaisir
    A mériter ta grâce, à conquérir ta gloire.

    Il est mûr pour ta gerbe ; il ne veut plus de vin :
    De son trésor, il n'a conservé qu'une envie
    De repos éternel et de néant divin,
    Dégoûté, dès le...