• Toi que j’ai vu pareil au chêne foudroyé,
    Je te retrouve époux, je te retrouve père ;
    Et sur ce front songeant à la mort qui libère,
    Jadis le pistolet pourtant s’est appuyé.

    Tu ne peux pas l’avoir tout à fait oublié.
    Tu savais comme on souffre et comme on désespère ;
    Tu portais dans ton sein l’infernale vipère
    D’un grand amour trahi, d’un grand...