• Le livre de la vie est le livre suprême
    Qu’on ne peut ni fermer, ni rouvrir à son choix ;
    Le passage attachant ne s’y lit pas deux fois,
    Mais le feuillet fatal se tourne de lui-même :
    On voudrait revenir à la page où l’on aime,
    Et la page où l’on meurt est déjà sous nos doigts !