• Ce petit homme grisonnant
    S’en venait encore à l’automne,
    Le regard vif, l’air avenant,
    En poussant son cri monotone.

    Mais qu’il est changé maintenant !
    Le regard est noir, l’air atone ;
    Et, sur les syllabes traînant,
    Sa voix chevrotante détonne.

    À peine un hiver a passé
    Et le revoilà si cassé,
    Qu’à l’entendre mon cœur se serre…...