Je suis au but ! mes pas ont touché l’Italie.
Par le feu d’un beau ciel la nature embellie
Des langueurs du sommeil va tirer mes pinceaux ;
Mon luth s’élancera vers des accents nouveaux ;
Oui, je veux, à l’oubli condamnant ma tristesse,
Retrouver les transports de ma fraîche jeunesse ;
Mon cœur bat d’avenir, et du besoin des cieux ;
La gaîté de la vie...