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    QUAND, penché sur le bord de la vie éternelle,
    Gouffre que le néant emplit silencieux,
    Tristement vers l’azur indifférent des cieux,
    Pour la dernière fois se tendra ma prunelle,

    Comptant le peu de bien que la vie eut en elle
    Et les obscurs déclins de mes jours radieux,
    Je n’accuserai pas l’inclémence des cieux
    Et ne maudirai pas cette heure...