• PENCHÉ contre un grand fleuve, infiniment mes rames
    M’arrachent à regret aux riants environs ;
    Âme aux pesantes mains, pleines des avirons,
    Il faut que le ciel cède au glas des lentes lames.

    Le cœur dur, l’œil distrait des beautés que je bats,
    Laissant autour de moi mûrir des cercles d’onde,
    Je veux à larges coups rompre l’illustre monde...