Mon œil halluciné conserve en sa mémoire
Les reflets de la lune et des robes de moire,
Les reflets de la mer et ceux des cierges blancs
Qui brûlent pour les morts près des rideaux tremblants :
Oui, pour mon œil épris d’ombre et de rutilance,
Ils ont tant de...
|
|
Le corps prostitué de la veuve infidèle En tous lieux, et toujours, aux mois de l’hirondelle, |
Plus de brise folle
Plus d’oiseau loustic. |
Quelle était donc, ainsi, tout de noir recouverte, Mais, verte ! de ce vert végétal, cru, blanc jaune, |
Je dis à la bergère : « Où donc est ta bessonne ! |
Dans le crépuscule d’automne De pauvres ânes qu’on bâtonne |
Ses rires grands ouverts qui si crânement mordent Excités par la danse, ils se gonflent, débordent |
|
Plus d’un oiseau, dardant l’éclair de son plumage, |