Rien qu’une heure, être encor triste comme autrefois,
D’une tristesse immense et douce par les bois,
Avec l’herbe et les fleurs, sous la pitié des branches,
Ou bien devant l’autel, par les calmes dimanches,
Quand, la tête appuyée au mur où sur fond bleu
Les...
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I Qui de nous, jeune encore et naïf, n’a connu |
Les rideaux sont fermés, aux carrefours déserts… |
Ce soir, la lune rêve avec plus de paresse ; |