XXVIII
Voyez-vous, un parfum éveille la pensée.
Repliez, belle enfant par l’aube caressée,
Cet éventail ailé, pourpre, or et vermillon,
...
XXVIII
Voyez-vous, un parfum éveille la pensée. |
Dites, que voulez-vous que jeune ménagère Du matin jusqu’au soir il se plaint, et sans cesse, |
|
Suspendue aux rameaux plus qu’obligeants d’un frêne, |
parmi les ruines de Rome |