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    I

    Ô jeune adolescent, tu rougis devant moi.
    Vois mes traits sans couleur ; ils pâlissent pour toi :
    C'est ton front virginal, ta grâce, ta décence.
    Viens ; il est d'autres jeux que les jeux de l'enfance.
    Ô jeune adolescent, viens savoir que mon cœur
    N'a pu de ton visage oublier la douceur.
    Bel enfant, sur ton front la volupté réside ;
    ...