Ô beaux rêves passant dans cette brise ailée
Qui met de grands frissons dans les doux ajoncs d’or,
Retenez, un instant, l’haleine parfumée
De l’enchanteur passé de la terre d’Arvor.
Puisse le vent cinglant les landes de l’Arrée
Ranimer en nous tous un espoir assoupi !
Puissent les vaillants fils d’une race effacée...