De ce ciel bizarre et livide,
Tourmenté comme ton destin,
Quels pensers dans ton âme vide
Descendent ? Réponds, libertin.
- Insatiablement avide
De l'obscur et de l'incertain,
Je ne geindrai pas comme Ovide
Chassé du paradis latin.
Cieux déchirés comme des grèves,
En vous se mire mon orgueil,
Vos vastes nuages en deuil
...
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J'ai beau trouver bien sympathique
Feu Loufoquadio,
Ses Japs en sucre candiot,
Son Bouddha de boutique ;
Faime mieux le subtil schéma,
Sur l'hiver d'un ciel morne,
De ton aérien bicorne,
Noble Foujiyama,
Et tes cèdres noirs, et la source
Du temple délaissé,
Qui pleurait comme un coeur blessé,
Qui pleurait sans ressource...