Un jour, — pardonnez-moi ce crime, ô grands plastiques !
Un jour, je promenais dans le Louvre, aux Antiques,
Mes rêves d’art intime et de modernité.
Le Musée est très-frais et très-calme, en été.
Après le Carrousel torride et son asphalte,
Il est doux, par les jours...
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Le train stoppa ; c’était la station de Sèvres. Assis dans mon wagon, la cigarette aux lèvres, |
Dans la paisible rue où je passe souvent, |
Des Groënlands et des Norvèges C’est un parc scandinave, aux sapins toujours verts, |
La pleine mer moutonne au loin sur les brisants. |