Nous nous serrions, hagards, en silencieux gestes,
Aux flamboyants juins d’or, pleins de relents, lassés,
Et tels, rêvassions-nous, longuement en enlacés,
Par les grands soirs tombés, triomphalement prestes.
Debout au perron gris, clair-obscuré d’agrestes
Arbres évaporant des parfums opiacés,
Et d’où l’on constatait des marbres déplacés,
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