Pardonne-moi, Seigneur, tout saint, tout débonnaire,
Si j'ai par trop cédé à de mondains appâts.
Hélas ! je fais le mal, lequel je ne veux pas
Et ne fais pas le bien que je désire faire.
Mon esprit trop bouillant, guidé par ma jeunesse,
S'est laissé emporter après la vanité,
Au lieu de s'élever vers ta Divinité
Et admirer les faits de ta grande...