Epouvantable Nuit, qui tes cheveux noircis
Couvres du voile obscur des ténèbres humides
Et des antres sortant par tes couleurs livides,
De ce grand Univers les beautés obscurcis.
Las ! si tous les travaux par toi sont adoucis,
Au ciel, en terre, en l'air, sous les marbres liquides,
Or que dedans ton char le silence tu guides,
Un de tes cours entiers...