• Septembre au ciel léger taché de cerfs-volants
    Est favorable à la flânerie à pas lents,
    Par la rue, en sortant de chez la femme aimée,
    Après un tendre adieu dont l'âme est parfumée.
    Pour moi, je crois toujours l'aimer mieux et bien plus
    Dans ce mois-ci, car c'est l'époque où je lui plus.
    L'après-midi, je vais souvent la voir en fraude ;
    Et, quand j'ai dû...

  • Aux vapeurs du matin, sous les fauves ramures
    Que le vent automnal emplit de longs murmures,
    Les rivaux, les deux cerfs luttent dans les halliers :
    Depuis l'heure du soir où leur fureur errante
    Les entraîna tous deux vers la biche odorante,
    Ils se frappent l'un l'autre à grands coups d'andouillers.

    Suants, fumants, en feu, quand vint l'aube incertaine,...