• Ô quel ennui à ceux de départir
    Où ferme amour ne peut être offensée ;
    Laquelle vient toutefois nous partir
    Joie et douleur en secrète pensée.
    Il est bien vrai que n'est pas compensée
    La joie au mal qu'un chacun de nous porte.
    Mais sûre foi de tant nous réconforte
    Qu'il n'y a temps, longue absence ou demeure
    Qui puisse clore à nos désirs la porte...