• L'âcre senteur des bois montant de toutes parts,
    Chasseresse, a gonflé ta narine élargie,
    Et, dans ta virginale et virile énergie,
    Rejetant tes cheveux en arrière, tu pars !

    Et du rugissement des rauques léopards
    Jusqu'à la nuit tu fais retentir Ortygie,
    Et bondis à travers la haletante orgie
    Des grands chiens éventrés sur l'herbe rouge épars.
    ...