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    Après la dernière bataille,
    Quand, formidables et béants,
    Six cents canons sous la mitraille
    Eurent écrasé les géants ;
    Dans ces jours où caisson qui roule,
    Blessés, chevaux, fuyaient en foule,
    Où l’on vit choir l’aigle indompté,
    Et, dans le bruit et la fumée,
    Sous l’écroulement d’une armée,
    Plier Paris épouvanté ;

    Quand la...