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    J’étais parti, voyant le ciel limpide et clair
    Et les chemins séchés, afin de prendre l’air,
    D’ouïr le vent qui pleure aux branches du mélèze,
    Et de mieux travailler : car on est plus à l’aise,
    Pour méditer le plan d’un drame projeté,
    Refondre un vers pesant et sans grâce jeté,
    Ou d’une rime faible, à sa sœur mal unie,
    Par un son plus exact...