• QUAND n’ayant même pas d’ami qui m’accompagne
    Je m’enfonce pensif à travers la campagne,
    Pour faire de mon cœur chanter l’intime voix,
    Ainsi qu’un moissonneur couché sur une gerbe,
    Un vieux tombeau, dormant avec sa vieille croix.

    Autant le cimetière et tous ses mausolées
    Me laissent froid devant leurs splendeurs désolées,
    Autant je rends un culte à...