• Dois-tu n'avoir, un jour, qu'un vol de fainéant,
    Comme un oiseau lassé d'une course inutile ?
    Iras-tu, quand il faut pour te rendre fertile
    Des ans par millions, en un jour au néant ?

    Sais-tu la profondeur de l'espace béant ?
    Le temps qui nous détruit, est-ce qu'il te mutile ?
    Et la vie et la mort, sur ton champ qui scintille,
    Verront-elles la fin...