Que l'on m'enterre un matin
De soleil, pour que nul n'essuie,
Suivant mon cortège incertain,
De vent, de bourrasque ou de pluie.
Car, n'ayant jamais fait de mal
A quiconque ici, je désire,
Quand mon cadavre sépulcral
Aura la pâleur de la cire,
Ne pas, en m'en allant, occire
Des suites d'un rhume fâcheux
Quelque pauvre dévoué sire...