• Faut-il qu'incessamment passionné je traîne
    Les rigoureux liens de l'amour qui me gêne,
    Et que sans espérer de me voir en repos
    Je loge le souci pour toujours en mes os,
    Que lamentant en vain mon malheur je soupire,
    Sans pouvoir m'alléger en mon cruel martyre,
    Faut-il, hélas ! faut-il, qu'avecque tant d'ennuis
    Je passe en mes regrets mes malheureuses nuits,...