• Les joncs frémissent à peine
    Sous le doux vent échappé
    Des champs de trèfle coupé
    Dans les lointains escarpés.
    Calmes sous la pure haleine,
    Les joncs frémissent à peine.

    Les joncs penchent mollement
    Leur tige au-dessus de l'onde
    Qui chante, la vagabonde,
    Les pleurs et le deuil du monde.
    Quel morne gazouillement
    Berce les...