CHUTE superbe, fin si douce,
Oubli des luttes, quel délice
Que d’étendre à même la mousse
Après la danse, le corps lisse !
Jamais une telle lueur
Que ces étincelles d’été
Sur un front semé de sueur
N’avait la victoire fêté !
Mais touché par le Crépuscule,
Ce grand corps qui fit tant de choses,
Qui dansait, qui...