Renversé doucement dans les bras de Thaïs,
Le front ceint d’un léger nuage,
Je lui disois : lorsque tu me souris,
Peut-être sur ma tête il s’élève un orage.
Que pense-t-on de mes écrits ?
Je dois aimer mes vers, puisqu’ils sont ton ouvrage.
Occuperai-...
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Quand le poëte passe en l’avril de sa vie, Tantôt c’est pour Ninon, tantôt c’est pour Sylvie ; |
J'irai, j'irai porter ma couronne effeuillée |
Et je voudrais aussi ma couronne d'épines |