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    Et maintenant, c’est l’heure où la terre des gaules
    Gémit, comme une harpe, à l’ombre des vieux saules.
    Des fleuves murmurants, des lacs et des vallons,
    Des bois, des monts ombreux où nichent les aiglons,
    Et de l’anse des mers où la vague retombe
    Un immense soupir sort d’une immense tombe.
    Car ils sont morts, au loin, en mille champs épars,
    ...