Je ne t'impute point l'amour que je te porte,
D'un objet tout divin mes sens y sont forcez,
Je sçay ce que tu vaux, Phyllis, et c'est assez,
Et je sçay ce que c'est d'un Amant de ma sorte.
N'apprehende donc point qu'un vain desir m'emporte,
Ny que je vueille...
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Je ne vay point aux coups exposer ma bedaine |
Le temps ne bouge point et jamais ne repose, |
Nous n'entrons point d'un pas plus avant en la vie |
Phylis, je ne suis plus des rimeurs de ce siècle |