Ô brises flottantes des cieux,
Du beau Printemps douces haleines,
Qui de baisers capricieux
Caressez les monts et les plaines !
Vierges, filles d’Éole...
Ô brises flottantes des cieux, Vierges, filles d’Éole... |
Ô brises flottantes des cieux,
Vierges, filles d’Éole, amantes de la paix, |
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Elle passe, tranquille, en un rêve divin, |
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Ô chers vieillards, depuis dix très longues années, |
Femmes, sur ce tombeau cher aux peuples Hellènes, Posons ces tristes fleurs auprès des coupes pleines. Il convient, selon l’ordre et le rite voulus, |
Un soir d’été, dans l’air harmonieux et doux, |
La jeunesse nous quitte et les Grâces aussi ; |
La Jeunesse nous quitte et les Grâces aussi ;
L’aile du vieux Saturne emporte nos beaux jours, |