Dans l’immense largeur du Capricorne au Pôle
Le vent beugle, rugit, siffle, râle et miaule,
Et bondit à travers l’Atlantique tout blanc
De bave...
|
|
Si nous vivions au siècle où les dieux éphémères
Les regrets, les désirs, comme un vent furieux, |
La lune n’était point ternie,
Le cœur de ma chère maîtresse |
Le cœur de ma chère maîtresse |
La royale Damas, sous les cieux clairs et calmes, |
Le vieux Daçaratha, sur son siège d’érable, Son dos... |
Le vieux Daçaratha, sur son siège d’érable, Son dos maigre est couvert de sesgrands cheveux blancs^ |
|
I
|