• Or voici que verdoie un hameau sur les côtes
    Plein de houx, orgueilleux de ses misères hautes.

    Des bergers s'étonnant contemplent dans la plaine,
    Et mon cheval qui sue à la hauteur se traîne.

    Pour y vivre l'Octobre et ses paix pastorales
    Je vous apporte, ô Pan, mes lyres vespérales.

    Les boeufs sont vite entrés. Ils meuglent dans l'étable,
    Et...