• Emporté ce matin par un dernier sommeil,
    Je guidais, dans mon rêve, un quadrige en ivoire ;
    Ce char resplendissant trouble encore ma mémoire,
    Avec ses chevaux blonds, tels que ceux du soleil.

    Au Dieu qui fait le jour je me trouvais pareil :
    Tous les crins rayonnaient pour m’aider à le croire,
    Et, voltigeant vers moi, m’entouraient d’une gloire ;
    Mais...