• Je t'apporte, ô sommeil, du vin de quatre années
    Du lait, des pavots noirs aux têtes couronnées ;
    Veuille tes ailerons en ce lieu déployer,
    Tant qu'Alison, la vieille accroupie au foyer,
    Qui d'un pouce retors et d'une dent mouillée,
    Sa quenouille chargée a quasi dépouillée,
    Laisse choir le fuseau, cesse de babiller,
    Et de toute la nuit ne se puisse...