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    C’était sous l’équateur. Dans la vague apaisé
    Le char des jours plongeait ses flamboyants essieux,
    Et la nuit, s’avançant sur la voie embrasée,
    D’ombre et de paix sereine enveloppait les cieux.

    Les étoiles s’ouvraient sous un souffle invisible,
    Et brillaient, fleurs de feu, dans un ciel étouffant.
    L’Océan, dans son lit tiède, immense, paisible,...