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    « C’est par mon métier, dit le vieux pâtre aux traits rudes,
    Qu’à forc’ de vous cercler les oreill’ et les yeux,
    Dans l’song’ de votre esprit rentr’ et rêvent le mieux
    Ces grands espac’ q’ont l’air de prend’ vos habitudes.

    Vos chants bourdonn’ comm’ ceux des gross’ mouch’ dans l’air doux,
    Tel que l’cœur sous l’soleil la bell’ verdur’ se pâme,
    L’...