Quand Orphée eut perdu sa maîtresse à jamais,
Il dit : « Je chanterai, pour épuiser ma peine,
Un thrène harmonieux sur celle que j’aimais. »
Fuyant l’Hèbre fatal et sa rive inhumaine,
Au bois sombre, où parfois sonne un rugissement,
Il promenait les chants de la Lyre d’ébène.
Mais il sentait la plainte...